
Quand on est candidat(e) aux élections européennes, on court les plateaux et les tribunes pour se faire connaître et élire.
Mieux, on enrichit son CV des langues européennes qu’on maîtrise.
En Finlande, chaque candidat doit choisir une seconde langue (après le finlandais : on peut comprendre). La candidate sur le plateau n’a pas renseigné l’anglais, ni l’espagnol, ni l’italien, mais bien le français, celle qu’elle maîtrise le mieux, si l’on en croit son CV.
Sauf qu’il y a parfois des pièges… Manque de bol, car ce jour-là, sans prévenir, la journaliste débute son interview… en français.
Et la candidate nous montre l’étendue de ses capacités linguistiques. De quoi se faire une idée de sa prochaine intervention en Commission.
On trouve ça rigolo, mais la dame est plutôt sympathique, et on a mal au cœur pour elle. Le rêve de célébrité se transforme en un honteux cauchemar.
On ne juge pas, mais bon. Peut mieux faire! La politique, ce n’est pas sérieux quand même !
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